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Amour et faux-semblants
En deux mots
L’audace, les hésitations, les regrets... Premiers émois ado. Un condensé d’émotions à ne pas manquer !
Synopsis
Vigo doit retrouver Camille au cinéma. En attendant, il stresse.
Pour aller plus loin
Avec son trait limpide en noir et blanc, Amour et faux-semblants glisse avec délice devant les yeux. Ce court de moins de quatre minutes, signé Lorca Alonso, est né sous les bons auspices de l’école de la Poudrière à Valence. Une pépite de plus dans la maison dauphinoise de l’animation qui a vu éclore tant de talents. Une ode à la simplicité stylistique, qui n’empêche ni la richesse ni la saveur.
La fébrilité adolescente est finement retranscrite dans cette chronique d’un rendez-vous contrarié. Le jeune Vigo est un poil stressé avant que Camille n’arrive au cinéma, pour la séance d’anniversaire qu’elle a choisie. C’était sans compter le passage au centre commercial du pote de Vigo qui, par sa roublardise, casse le coup de son copain. L’espoir fait vivre… Quoique !
L’humour n’est pas en reste dans le sens des dialogues, des situations, et de la programmation narrative de Lorca Alonso. Le copain qui débarque et s’incruste à plusieurs reprises, en se moquant de son ami, qu’il met systématiquement en doute, est un vrai ressort de comédie. Mais pas seulement, il confronte par ricochet le héros à son désir secret et inavoué. Avant une pirouette finale…
Générique
Production La poudrière
Interprétation Nills Guarrivier, Ylang Lebot, Clémence Taveau, Théo Verdier